Nos vignerons et producteurs

Arnaud Desfontaine

Xavier et Arnaud aux côtés de leur mère Véronique, forment un Triumvirat performant, qui est la clef de l’essor actuel du Château de Chamilly. Chacune de leurs vignes, autrement dit chaque Climat, possède son propre caractère.
Ce qui les différencie ? Une somme de petites choses qui font beaucoup !
Exposition, coteau ou bas de coteau, mur d’enceinte, composition du sol…
Tous les Climats ont un nom : Mercurey Clos la Perrière, Montagny 1^er Cru les Burnins…

“Au Château de Chamilly, chaque vigne est un cas particulier, nous en prenons soin de la taille jusqu’à la récolte. Chaque Climat est vinifié, élevé et mis en bouteille séparément. Vous retrouverez leurs noms sur les bouteilles.
Les traditions séculaires, un savoir-faire ancestral, voilà ce qui fait notre base.
L’envie, une étincelle, un brin de folie… ça, c’est ce qui nous fait avancer.

Notre devise, EX NIHILO NIHIL : Rien ne vient de rien !”

Gonzague Maurice

Après avoir œœuvré dans plusieurs domaines bordelais, Gonzague s’est installé en 2006 à Montagne, venant à la viticulture par amour du vin.

Il travaille ses vignes (très majoritairement des merlots) sur quatre terroirs différents les uns des autres. Ceci lui permet de mieux démontrer la nature de ces beaux terroirs (argile, calcaire, sables, graves…) dans l’expression de ses vins.
Ce qu’on aime dans ses vins : c’est qu’il réussit à préserver élégance et fraîcheur, même dans les derniers millésimes très solaires.

Placé sur la route des pèlerinages de Saint-Jacques de Compostelle, le domaine possède une petite tour du 18ème siècle. Appelée “ folie ” de par son architecture surprenante, cette tour servait officiellement de relais aux pèlerins, mais aussi et surtout de garçonnière au château voisin !

Jean-Pierre Venture

Le Mas de la Seranne, tient son nom de la chaîne de collines en face du domaine. Le site jouit d’une vue panoramique sur toute la moyenne vallée de l’Hérault. Parsemé d’oliviers et adossé à la garrigue, il s’étend sur 16 hectares. En 1998, Jean-Pierre Venture abandonne son costume de dirigeant d’usine pour adopter son chapeau en feutrine de vigneron qu’on ne verra plus jamais ôter. Tout est à créer mais la passion de la vigne et du vin sont là.

Jean-Pierre et sa femme Isabelle embellissent chaque année le domaine en remontant les murs de pierres sèches ou en plantant des essences méditerranéennes. Amoureux de la nature, ils sont certifiés en Agriculture Biologique en 2012.
Ils travaillent depuis plus de 10 ans à l’adaptation du vignoble au réchauffement climatique et ont planté en 2018 une parcelle expérimentale avec 9 cépages anciens. Le succès des cuvées provient de l’influence climatique du plateau du Larzac, dont les courants d’air froid apportent la puissance aromatique aux vins.

Comme tout bon vigneron, ils savent qu’ils ont encore beaucoup à découvrir, et que chaque millésime apporte son lot de joies, de découvertes et de peines…

Antoine Olivier

Mais dis-nous Antoine, d’où viens-tu et que veux-tu nous proposer ?

“Créé à la fin des années 60, le Domaine Olivier puise ses origines sur les quelques vignes laissées par Antoine Moreau-Chevalier à son petit-fils Hervé, mon père.

Par des achats de parcelles et des plantations nouvelles, le domaine s’étend d’abord sur Santenay puis Savigny-les-Beaune, Pommard et plus récemment, Rully.

Au cours de la croissance de notre activité, nous nous sommes attachés à la mise en valeur de terroirs anciens, historiquement réputés pour la production de Santenay Blanc.

Pour certains abandonnés depuis plus d’un siècle, ces terroirs nous ont permis de produire des vins aujourd’hui reconnus parmi les Grand Vins de Bourgogne et font du domaine le principal producteur de vins blancs de Santenay.

En 2003, je succède à mon père et assure depuis, l’ensemble des activités du domaine. Je m’applique à respecter mes convictions de vigneron : le goût du travail bien fait, avec une légèreté suffisante, comme en témoigne certaines de mes cuvées… À travers celles-ci, prenez le temps de découvrir mon univers, où Chardonnay et Pinot Noir règnent, où le respect de l’environnement prime et le plaisir est maître mot.

Un espoir pour moi aujourd’hui : que vous ayez autant de plaisir à déguster mes vins, que j’en ai eu à les produire !”

Merci Antoine 🙂

Corinne & Patrick Drouet

Le Domaine Drouet est situé à 12 km au sud de la ville de Cognac. Il s’étend aujourd’hui sur 40 ha répartis entre les deux premiers crus, les plus prestigieux : 70% en Grande Champagne, premier cru, et 30% en Petite Champagne, deuxième cru de l’appellation.

« Encouragé par mes parents et après quelques acquisitions et transformations, nous élaborons notre premier Pineau des Charentes en 1987 et installons deux alambics traditionnels de 10 hl.
Le travail rigoureux et minutieux réalisé à la vigne et au chai nous permet d’’élaborer une gamme de Cognacs, de Pineaux de caractère honorant notre terroir, nos cépages, notre savoir-faire, nos traditions ».

Les vignes du Domaine sont cultivées dans un souci permanent du respect de la terre qui les héberge et du respect des équilibres naturels et des ressources en eau.

Jean-Marie Chaland

“Nous sommes Vignerons de père en fils depuis 3 générations.
Le vignoble s’étend sur 8.2 ha de Chardonnay sur les villages de Viré et de Montbellet répartis en 23 parcelles sur trois appellations ; Viré-Clessé (5.7 ha), Mâcon-Villages (2 ha) et Mâcon (0.5 ha).
Depuis le millésime 2012, nous cultivons 80 ares de vieilles vignes de Gamay en appellation Mâcon-Burgy. Nous avons obtenu une certification en agriculture biologique en 2006 (initiée en 2003).
Les vignes du domaine ont toujours été labourées sans jamais voir d’herbicide de synthèse. Nos vieilles vignes agées de 50 à 100 ans représentent 75 % du vignoble.

La vinification de nos raisins est naturelle et les vendanges sont manuelles, ceci pour le plaisir de vos sens.
Nos vins se profilent sur la minéralité et l’équilibre sans sucres résiduels, un style recherché au sein d’une appellation qui mûrit vite.”

Frédéric & Marie Chauffray

Ils créent tous les 2 le domaine en 2004. Ces 2 vignerons passionnés et autodidactes  ont eu le coup de foudre pour ce vignoble de 12 ha situé à 400m d’altitude sur les contreforts du Plateau du Larzac surplombant la Vallée de l’Hérault.

Ils y font très vite des merveilles… L’approche agronomique est biodynamique. Comme la viticulture, la vinification se veut très proche des cycles naturels – comprenez peu interventionniste. Les vins se sont très vite singularisés par leur gourmandise enjouée, leur fraîcheur, et leur caractère à la fois très dense, pulpeux et élégant.

Le domaine est baptisé “ La Réserve d’O ” pour exprimer leur envie de produire du raisin dans un environnement d’exception : Optimiser l’équilibre des sols, créer de la biodiversité et favoriser l’expression du terroir grâce aux techniques de l’agriculture biodynamique.

Vincent et Stéphane Perraud

“ La connaissance de nos terroirs et de nos clos de vignes est un éternel recommencement tellement nous sommes tributaires de la météo. Toute constatation tant au niveau du comportement de la vigne, des maladies, de l’herbe, que de l’expression du vin est à remettre au contexte de chaque année. C’est en recoupant ces observations que nous affinons au fil des ans notre approche culturale, pour protéger la qualité du végétal et des raisins.

Aujourd’hui l’ensemble de notre vignoble est en culture biologique sans engrais chimiques, sans désherbant, sans insecticide et sans aucun traitement de la vigne avec des produits chimiques de synthèse. L’herbe est détruite mécaniquement, nous réalisons des pratiques agrobiologiques pour vitaliser les sols et les traitements sont effectués avec des produits d’origine naturelle ainsi que du soufre et du cuivre à doses homéopathiques.
Nous progressons tous les ans pour plus de respect environnemental et élaborer des vins plus sains.
Les vendanges se font essentiellement à la main avec une trentaine de vendangeurs(es). La cueillette et le tri des raisins s’accomplissent dans les vignes pour récolter chaque année une vendange la plus saine possible, ensuite les raisins sont acheminés au pressoir et pressés en grappes entières. C’est pour nous une étape importante pour garantir la qualité de nos vins. ”

Olivier Jean

« J’ai choisi ce métier par passion, car je me suis émerveillé tout petit devant le monde agricole à l’ancienne en suivant mon grand-père maternel qui menait quelques vaches à sa retraite. Ensuite, mes études terminées, j’ai claqué la porte aux ambitions parentales et j’ai choisi d’être vigneron.

Je suis très intéressé par le vivant en milieu naturel. Des déchets de l’élevage servent à fertiliser les sols qui produisent à leur tour des aliments pour les hommes et le bétail et cela dans un équilibre séculaire.

Mon ambition est modestement de remettre de la vie dans mes sols, de commencer à réparer le déséquilibre que la chimie a causé. De réparer les chaînes naturelles d’alimentation du sol, de restitution à la culture qui est en place sur la parcelle. Et la vigne, c’est certain, va donner dans la qualité de son fruit, tout le bienfait de cette santé retrouvée. Je constate qu’au fil des ans j’ai une plante plus résistante et un fruit plus typique. »

Laura David

“ Petite, je foulais le raisin avec mes pieds…
Arrière petite fille de vigneron, la passion, la découverte et les voyages ont accentué ma volonté de faire perdurer les traditions familiales.
Les études m’ont poussée à découvrir de nombreux terroirs, en France, et même à l’étranger.

Apprendre en écoutant, en observant, en dégustant… Toujours s’inspirer et puiser ses connaissances dans l’histoire des hommes et des femmes qui façonnent l’identité viticole d’une région, d’un village, d’une parcelle…

Jusqu’au jour où il était temps pour moi d’écrire ma propre histoire.
En Mars 2017, mes pieds ont foulé le sol d’un grand terroir viticole Ligérien, à Montlouis-sur-Loire plus précisément. Petite appellation par sa surface, aussi intimiste que qualitative, c’est là où j’avais tout à apprendre, là où j’allais enfin pouvoir m’exprimer ! ”

Julie Leroux & Dave Grandville

Le succès du gin en Angleterre ne s’est jamais démenti. Depuis une quinzaine d’années, il refait fureur dans les bars londoniens. En revanche, en France, sa consommation reste confidentielle. C’est cette raison qui a donné l’idée au jeune couple franco-britannique de 26 ans de se lancer, près de Caen, dans la fabrication d’un Gin français. Julie et David créent  “C’est nous”, leur micro-distillerie de gin artisanal, très prometteuse selon nous… Et il semble que nous ayons vu juste, puisqu’ils récoltent toutes les récompenses nationales et internationales depuis…

Julie, un BTS hôtellerie-restauration en poche qu’elle complète par une formation Œnologie part en Angleterre pour y apprendre la langue et travailler autour du vin. Elle croise sur sa route David, anglais, lui aussi dans l’hôtellerie. Ainsi commence leur histoire.
La distillation est l’affaire de David. “La qualité de notre gin vient du choix des aromates et aussi de la façon de le distiller, très doucement, ce qui permet d’obtenir une texture plus épaisse.” Ils viennent d’investir dans un nouvel alambic.

Et désormais ils font parler leur talent au travers d’autres spiritueux, en élaborant une magnifique Vodka, et un “ColdBrew » (liqueur de Café) à tomber par terre…

Frédéric et François Alary

Frédéric et François ALARY exploitent 25 hectares sur les meilleurs coteaux de l’appellation CAIRANNE.

Ils sont la dixième génération de vignerons sur le domaine de L’Oratoire-Saint-Martin créé il y a 300 ans par André Alary.

Le Domaine est certifié en agriculture biologique et biodynamique.

Ils produisent des Côtes du Rhône rouge et des Cairanne blanc et rouge qui leur ressemblent, à la fois enracinés dans le calcaire et les argiles de leur terroir mais aussi des vins de plaisir et de partage.

François et Carine Crochet

Avec un peu plus de 10 ha plantés sur une trentaine de petites parcelles, Carine et François cultivent leurs beaux sauvignons et pinots noirs depuis les années 2000, et depuis quelques années selon les preceptes de la biodynamie.

Ils construisent un panel assez large de magnifiques cuvées parcellaires, pour exprimer les belles nuances géologiques de leur vignoble morcelé. Des parcelles les plus calcaires, jusqu’aux plus rares silex (qui donnent naissance à leur cuvée “Exils », en passant par les sols plus marneux, les terrains de jeu sont infinis, et exprimés de façon éclatante, grâce à leur talent. les raisins sont toujours récoltés à juste maturité, sur le fil,  afin de préserver la fraîcheur attendue pour ce style de vin, et une belle matière très fine, sans esbroufe, débouchant sur des vins d’une grande élegance.

Si on ajoute à cela des qualités humaines exceptionnelles… comment ne pas craquer ??
Impossible 🙂

Vincent Stoeffler

André & Quentin Leenhardt

Le domaine, est situé à Lauret au pied du causse calcaire de Pompignan. Remis en état en 1991 et le choix de l’agriculture biologique s’est vite imposé.
Le terroir du domaine bénéficie du micro-climat du Pic Saint Loup avec des nuits plus fraîches. Les sols sont argilo-calcaires, situés dans un cirque naturel adossé au Causse de l’Hortus, avec des expositions allant de plein sud à est, et jusqu’à nord. Trois familles de sols sont présentes : les calcaires durs, les éboulis argilo-calcaires, et les calcaires tendres sur marnes.
L’esprit qui guide le travail à Cazeneuve tout au long de l’année est d’élaborer des vins Pic Saint Loup avec une forte identité. Tout est mis en œuvre, depuis le travail au vignoble, jusqu’à la vinification et l’élevage des vins, pour proposer des vins avec une forte personnalité tout au long des millésimes.
Les rouges du château de Cazeneuve conservent cette fraîcheur avec une structure tannique soyeuse et une trame élégante qui supportera un voyage dans le temps. Et leur blanc (en AOP Languedoc) mérite une petite garde pour délivrer tout son potentiel.
La gamme “Cynarah” est travaillée par le fils d’André, Quentin Leenhardt, dont les vignes se situent à Claret… des cuvées ultra-gourmandes !!

Pierre Richarme

“Notre vin c’est d’abord et avant tout du raisin.
Pour avoir un vin riche et équilibré tout va se jouer dans la vigne et dans la durée.
Aucun produit chimique ou de synthèse n’a été mis dans la vigne ou dans le vin.
Pour avoir le meilleur raisin possible on ne contrarie pas la nature, on la laisse faire et on l’accompagne. Il faut que la vigne se développe en harmonie avec son milieu et qu’elle donne uniquement le raisin qu’elle sera en mesure de mener à une maturité complète.
La philosophie du Domaine se retrouve aussi dans la vinification. À partir du moment où l’on ramasse des raisins murs, sains et équilibrés, la vinification va se faire spontanément.
Les différentes familles de levure présentes naturellement sur les baies vont mener à terme les fermentations.
Les vins ainsi obtenus sont complexes, riches et longs en bouche.

La Vinification en œuf…  ou comment faire naître un vin !
L’œuf étant l’essence même de la naissance, Pierre Richarme a décidé de vinifier ses blancs et ses rouges dans des cuves en forme d’œufs. La forme ovoïde de la cuve en œuf engendre des flux doux qui permettent la remise en suspension des lies fines. Celles-ci vont apporter au vin plus de gras et de rondeur.”

Jean-Arnaud Frantzen

Xavier Amirault

« Nos Vins, Vivants de la Terre au Ciel »

Cela fait plus de 180 ans que le Clos des Quarterons accueille sur ses terres la famille Amirault. 180 ans d’histoires, de réflexions, de doutes mais aussi de joies.

Presque deux siècles durant lesquels six générations ont arpenté les vignes et guidé les vins dans le respect du travail de leurs prédécesseurs et dans un souci de qualité. C’est dans cette idée qu’ils ont opté pour une agriculture Biodynamique certifiée par Déméter.

Stéphane et Lucile Grandval

Grandouet est situé au cœur du Pays d’Auge à 2 kms du village de Cambremer sur la “Route du Cidre”. Le terroir et le climat en font un site privilégié pour les produits cidricoles.

Le grand-père Yvon est à l’origine de cette belle exploitation, typique du Pays d’Auge. Avec d’autres producteurs, il crée le Syndicat des Producteurs de cidre du Cru de Cambremer (1963) puis la Route du Cidre (1974).

François, son fils développa l’exploitation au fil des années, s’investissant dans la reconnaissance des produits cidricoles en AOC. Passionné, l’activité de distillation du cidre continue toujours de l’occuper.

Aujourd’hui, Stéphane, rejoint par son épouse Lucile, poursuit l’activité et s’attache à perpétuer le savoir-faire familial et préserver le patrimoine transmis au fil des générations.

28 hectares de vergers entourent l’exploitation, composés d’une 20aine de variétés de pommes, utilisées exclusivement pour l’élaboration de produits cidricoles en AOC, principalement Cidres, Pommeau et Calvados. Tout est absolument délicieux!!… les équilibres sont parfaits.

Jean Marc Berthelot et Vincent Guyot

Créée par un Normand passionné par la bière et rejoint depuis par un second normand tout aussi passioné, la Brasserie de l’Odon propose une gamme complète de bières artisanales originales. De caractère pour certaines, sortant des sentiers battus pour d’autres, chacune de nos bières saura vous séduire par son goût unique !

Les bières de la Brasserie de l’Odon sont des bières de fermentation haute qui ne sont ni filtrées ni pasteurisées, pour en préserver toutes les qualités.

La Brasserie de l’Odon, brasserie artisanale, est installée à Aunay-sur-Odon à proximité de Caen dans le Calvados.

Patrice Colin

L’origine de la ferme agricole remonte à 1735 mais c’est Emilien Colin en 1900 qui développe la vente direct de vin et contribue à l’essor du domaine avec 6 hectares de vignes et 2 attelées de chevaux.

Le Domaine aujourd’hui compte 25 hectares de vignes dont 9 hectares en Pineau D’Aunis, 8 hectares en Chenin, 2,5 hectares de Pinot Noir, 2 hectares de Cabernet Franc 2 hectares de Gamay et 1,5 hectares de Chardonnay.

L’originalité est apportée par les silex de la Vallée du Loir et le sous-sol argilo-calcaire, de plus le vignoble, étant situé dans les sinuosités du Loir, bénéficie d’un micro-climat très favorable avec peu de pluie et un ensoleillement idéal grâce à une belle exposition.

Le choix du travail des sols a toujours été une réalité sur le Domaine afin de nourrir le sol, l’aéré et favoriser une vie microbienne intense. La vigne puise ses éléments minéraux en profondeur et exprime ainsi au mieux son terroir.

La conduite en agriculture biologique coule de source pour favoriser l’équilibre et la diversité végétale sur le sol. La vinification est non interventionniste, les raisins sont généralement égrappés et triés, fermentent en cuve inox ou fûts grâce à leurs levures indigènes. La chaptalisation est bannie quelque soit l’année.

Les vins représentent parfaitement l’esprit du millésime et le terroir où ils sont nés.

Adrien Dhondt

À tout juste 30 ans, Adrien fait partie des jeunes talents qui participent à la révolution qualitative de la Champagne. Humble, à l’écoute de ses pairs, et dans le respect de l’héritage de ses parents, Adrien élabore des champagnes précis, ciselés, de grande classe!!

Le domaine de 6 hectares est implanté à Flavigny, au cœur de la Côte des Blancs. Le vignoble est travaillé à la façon du bio, avec des sols labourés et des traitements à base de plantes. Adrien s’y exprime comme un esthète avec une palette d’ingrédients : un terroir cajolé, un élevage en fûts parfaitement maîtrisé, une réserve perpétuelle par village remontant à 1986 qui apporte du relief et un supplément d’âme gustatif.

Marie & Anne Guégniard

Dans la famille Guégniard, on est vigneron de mère en fils ou de père en fille depuis huit générations…

Le Domaine de la Bergerie a été acheté à la Bougie en 1961 par Marie-Scolastique, la grand-mère d’Yves, qui lui est la septième génération de vignerons. Depuis, Yves et Marie-Annick son épouse, ont fait l’acquisition de grands terroirs (Savennières, Quarts de Chaume Grand Cru, Coteaux du Layon 1er Cru Chaume). Ils se consacrent au travail de leurs vignes et initie la montée en qualité de leurs vins.

Pour seconder son papa, Anne est revenue sur le domaine en 2007. Et depuis septembre 2017, Marie a rejoint sa sœur suite à sa formation dans d’autres beaux domaines. Elles apportent toutes les 2 de nouvelles remises en questions, un autre regard sur le travail de la vigne et du vin.

En 2018 les deux sœurs reprennent les rênes du vignoble. Ainsi, la tradition familiale perdure, la huitième génération est installée.

Sans oublier David Guitton, l’époux de Anne, qui, juste à côté de la cave, orchestre la Table de la Bergerie, un restaurant monté sur le domaine qui a obtenu sa première étoile au Michelin en 2017.

Arnaud Margaine

Arnaud représente la 5e génération de vigneron de la maison familiale.

Le vignoble, de 6,5 hectares en 1er Cru, situé à Villers Marmery, bénéficie d’une exposition optimale, sur les coteaux de craie, et de marnes argilo-calacaire de la Montagne de Reims. La préservation de l’environnement est une des préoccupations principales de la maison; le choix des cultures s’est donc logiquement tourné vers des méthodes naturelles d’enherbement et de travail manuel des sols.

Ici, une place prépondérante est donnée au Chardonnay, chose moins répandue sur ce terroir de la Montagne de Reims, mais ceci contribue au caractère particulier des champagnes d’Arnaud,  la qualité est énorme!!… avec des vins expressifs, accessibles et d’une remarquable régularité.

Christine Dupuy

Christine est aux manettes du domaine depuis 1993, date à laquelle elle termine ses études d’œnologie. Lorsqu’elle s’installe dans le domaine familial, elle perpétue une tradition qui remonte à la révolution française … rien que ça ! Elle devient la plus jeune viticultrice de l’appellation Madiran, et décide alors de faire bouger les lignes au domaine Labranche Laffont, en bousculant la tradition.

Elle commence dans un premier temps à réduire les intrants chimiques, jusqu’à recevoir la certification Bio, dans un souci de respect de la terre et de ses vignes.  Les roses sont l’emblème du Domaine. Elles sont connues comme un très bon indicateur de la santé de la vigne. Elles symbolisent également l’élégance et la finesse que l’on retrouve dans chaque vin du domaine.

Adoptée et soutenue par la profession, elle abat un travail étonnant dès le début. Son objectif est simple, élaborer des vins de qualité et lutter contre cette mode de vins stéréotypés. La base c’est le terroir… Un terroir avec de l’argile et des galets (qui permettent de garder la chaleur) et une bonne exposition … et ensuite vient le travail du vigneron. Elle baisse les rendements, adopte les fermentations malolactiques en fûts et s’essaie à la biodynamie sur 2 ha. Elle souhaite laisser s’exprimer au maximum le Tannat pour arriver à des vins typés riches en fruit, en couleur, des vins profonds à la structure charnue et savoureuse.

Enfin le petit bijou de la propriété, c’est le demi hectare de plants de tannat préphylloxériques, qu’elle bichonne plus que tout: Christine est l’une des 2 vignerons de Madiran à posséder encore des vignes de Tannat datant de la fin du 19ème siècle.

Benjamin Delobel

Une passion enivrante pour le vin mêlée à un profond attachement au travail de la terre… Il n’en fallait pas plus pour inciter Benjamin Delobel, jeune artisan-vigneron, à s’installer à son compte.

Le trentenaire, originaire du Pas-de-Calais, aurait très bien pu reprendre une exploitation clés en main, mais au lieu de ça, il décide de créer seul son propre domaine viticole, avec un chai et une gamme de vins bio qui lui ressemblent.

Lorsqu’il lui faut trouver l’endroit idéal, le Val de Loire s’impose à lui et le rapproche un peu plus de sa région natale. Mais si Benjamin Delobel choisit Ouchamps (Loir-et-Cher, 41), commune nichée entre les châteaux de Chambord et de Chenonceau, c’est en raison de plusieurs coups de cœur…

Coup de cœur pour un cépage d’abord : le sauvignon blanc. Un cépage « frais et très aromatique » que le jeune viticulteur est même allé apprivoiser en dehors de nos frontières en Californie, en Australie et en Nouvelle-Zélande.

Concours Mondial du Sauvignon 2019 : sa Cuvée Exponentielle 2017 obtient le prestigieux « Trophée Denis Dubourdieu 2019 » et sa Cuvée Angle Droit 2018 remporte une Médaille d’Or!
Le Concours Mondial du Sauvignon est un portrait instantané́ et annuellement mis à̀ jour de la production mondiale des vins de Sauvignon blanc. En 2019, 70 dégustateurs professionnels de 20 nationalités se retrouvent pour le concours autour d’une sélection internationale de 26 nations viticoles qui constituent la « planète Sauvignon blanc ». A l’issue du concours, les jurés décernent des médailles d’or et d’argent aux meilleures productions en lice. En marge de ces médailles, le trophée spécial « Denis Dubourdieu » est décerné́ chaque année au vin affichant l’expression la plus pure et la plus raffinée du Sauvignon. Cette année, c’est la Cuvée Exponentielle 2017 qui obtient cette prestigieuse distinction. La Cuvée Angle Droit 2018 remporte quant à elle une Médaille d’or.

Antoine Marois

« Originaire du Pays d’Auge en Normandie, j’ai grandi entouré de vergers. Mon parcours d’agronome dans le monde du vin m’a ensuite conduit vers d’autres régions de France et du monde.

​​C’est avec la conviction qu’il existe aussi de grands terroirs cidricoles que je suis revenu m’installer dans ma région natale.

Mon ambition : révéler l’extraordinaire potentiel des ces terroirs en produisant des cidres d’exception.

Le vin, comme la cuisine est souvent une histoire de passion. Merci à ceux qui me l’ont transmise en Champagne, en Bourgogne, en Vallée du Rhône et dans tous les endroits où j’ai eu la chance de travailler ou simplement de partager des moments de convivialité. »

Philippe Huguenot

Avec le domaine Huguenot, nous sommes dans le temps long de la vigne et de la Bourgogne, cette exploitation ayant déjà vu passer 10 générations et certaines de ses parcelles étant cultivées depuis plus de 200 ans. A la veille de la Révolution française, il y avait déjà des vignerons-laboureurs chez les Huguenot !

Plus récemment, dans l’après guerre, Jean Louis Huguenot (tristement décédé cet été) a fait passer le domaine de 5 à 23 hectares – 20 en pinot noir, le reste en chardonnay – et son fils Philippe, actuellement à la tête du domaine avec son épouse Valérie, a entamé une conversion vers l’agriculture biologique.

Les appellations que produit le domaine se trouvent en Marsannay, Charmes-Chambertin, Fixin et Gevrey-Chambertin avec, sur ce dernier, une parcelle dans le Grand Cru Charmes-Chambertin.

Jo Landron

Véritable légende en Muscadet … Installé en 1979, Jo Landron a repris et développé l’exploitation paternelle, datant de 1945. L’année 1987 fut celle de tous les changements et d’une véritable prise de conscience , avec l’arrêt des désherbants et le début du travail des sols … Cette démarche a continué au fil des années, aboutissant à une certification en Bio en 2002, puis en Biodynamie en 2011. Aujourd’hui, ce sont près de 48 hectares qui sont cultivés par la famille Landron.

Jo est devenu une référence incontournable dans le Muscadet, tant par ses convictions que par la qualité de ses vins. La grande diversité des sols de son domaine lui permet de créer des vins singuliers et identitaires.